Comment utiliser un chapeau de paille pour créer une belle composition florale estivale
Amicale des enseignants de Sarreguemines
Pour nous contacter : amic.eliane@gmail.com
8 juin 2025
Atelier art floral d'été
23 mai 2025
Les Jardins de Laquenexy
En 2004, lors du centenaire du site, le Département de la Moselle décide de donner un nouvel élan au site désormais baptisé "Jardins Fruitiers de Laquenexy".
Aujourd'hui, les Jardins Fruitiers de Laquenexy accueillent désormais au
sein de leur verger conservatoire une vingtaine de jardins thématiques
répondant au nom gourmand du "Jardin des Saveurs", un jardin
contemporain au cœur d'un patrimoine arboricole
Les pivoines sont à l'honneur en ce momentJardin des plantes carnivores
Visite du Fort de Queuleu
Belle journée pour une visite du Fort de Queuleu très captivante et pleine d'émotions
Le
fort de Queuleu a été construit en 1867.L’architecture s’inspire des enceintes
bastionnées, perfectionnées par Vauban puis par Louis de Cormontaigne
À partir de novembre
1918, le fort sert de camp pour prisonniers de guerre. Des soldats allemands,
italiens, russes y sont regroupés. Il est géré par l’armée française
En 1919, le fort de Queuleu est désarmé par l’armée française. Il est alors occupé par différentes unités françaises, notamment vers 1925 par le 18e régiment de tirailleurs algériens
En juin 1940, il est réinvesti par l’armée allemande. En 1940-1941, il est réutilisé par les nazis en camp de détention pour prisonniers de guerre, puis en 1943-1944 en commando du camp de concentration de Natzweiler-Struthof et en camp spécial d’interrogatoire de la Gestapo, antichambre de la déportation.
Nous entrons par la même porte par laquelle accédaient les personnes pour leur interrogatoire
« Un à un, on nous jetait dans une sorte
de bureau dans lequel un adjudant de la Gestapo nous demandait notre état
civil. Tiens voilà un instituteur… Apprenez-lui les méthodes de l’école
des SS ! dit le commandant aux jeunes SS. Se tournant vers moi, il me
cria : N’oublie surtout pas que tu n’es plus monsieur …… mais que tu
t’appelles à partir d’aujourd’hui, le numéro 124 ! »
Avant de passer dans ces bureaux pour les interrogatoires, les prisonniers restaient en attente contre les murs , toujours les yeux bandés , bras levés et mains liées.
« Il
m’est impossible de décrire ici tout ce que j’ai vu et vécu dans ce camp
spécial. Le fort de Queuleu était un véritable enfer, un lieu de terreur, de
mauvais traitement et de cruauté, où mourraient des êtres innocents. Je fus mis
dans la cellule 3 et attribué au travail dans l’atelier. C’est dans la cellule
3 que furent amenés tous les détenus à moitié mort par suite des coups reçus ;
certains avaient le crâne fracturé, d’autres la poitrine enfoncée, d’autres des
blessures par baïonnette, et parfois des fous. »
Depuis le lever à 6 heures jusqu’au coucher à 20 heures, il faut passer toute la journée assis sur les bancs, devant les lits en station rigide, la tête tournée vers la porte de la cellule, mains liées et yeux bandés, sans broncher, sans parler, sans bouger, sans quoi les coups de trique ou de crosse de fusil de la sentinelle pleuvent. Deux interruptions d’une heure cependant. La première, le matin de 7 à 8 heures, la seconde de 18 à 19 heures pour les besoins naturels qui se font dans une lessiveuse : une heure pour les 84 occupants de la cellule. A midi, il n’y a que dix écuelles : les dix premiers mangent, passent ensuite l’écuelle de soupe ou de café aux dix suivants et ainsi de suite. Mais comme on mange yeux bandés et mains liées, cela consiste surtout à tremper son visage dans la gamelle qui tient péniblement. La nuit, les détenus dorment à deux sur la même paillasse mais dans le sens opposé, la tête de l’un aux pieds de l’autre pour ne pas communiquer. »
Salle d'eau
Eau glacé mais peu accessible aux prisonniers ,mais aussi lieu de punition
Les cellules individuelles
« Pour
se faire, il fallut plus de 1000 briques et les quantités de ciment et de sable
correspondantes. Les prisonniers des cellules 3 et 4 durent, par des grands
froids, décharger et amener les briques par une chaîne de mains à mains, du
camion à la cave. Le sang coulait des mains blessées et malheur à celui qui
laissait tomber une pierre. Les matériaux étaient ensuite transportés sur une
civière au pas de course ininterrompu. Tout ceci à grand renfort de cris et de
coups. »
Dans ces cellules on y restait debout le jour sans bouger et coucher la nuit
Ici "Salon du coiffeur "
Marches de mai
Enfin une belle météo pour ces 2 marches de mai
Sur le secteur des éoliennes de Woelfling avec Marc et Marcelline
Sur le secteur de Mandelbachtal dans la biosphärenreservat avec Daniel
24 avr. 2025
ATELIER TRICOT DE FEVRIER A AVRIL
Que de belles choses tricotées pour les petits-enfants